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Juste Une question d’ambition ?

Ce matin je regarde le site de Julie Doucet, une artiste illustratrice bedeaste. En voyant sa création basé entre autre sur la société de consommation, je me dis que j’aimerais aussi parler de thèmes qui me touchent dans mes œuvres.

Actuelement mes dessins ne parlent pas consciemment de sujet en particulier. Il se dégage de la poésie de certaines maisons, une impressions de comtes, de féerie.

Consciemment, je ne sais pas vers où je veux aller quand je commence une maison et je suis rarement satisfait du résultat. J’ai le sentiment de tourner en rond et d’utiliser des recettes « pour que ça donne bien ».

Je n’ai pas de plan et je n’arrive pas non plus à me laisser guider par mon cœur dans un délire graphique. Je peux sans complexe affirmer que l’élaboration d’une maison imaginaire est aujourd’hui assez laborieuse.

Or c’est bien le,labeur que j’aimerais chasser de mon dessin pour laisser place à de la folie, du délire, de l’amusement.

Pour cela j’ai l’intuition qu’il faut que j’élabore des plan, des lignes de conduites, des feuilles de routes, des grandes tendances. En tout cas, mettre de l’ordre dans ma caboche quand à ce que je pourrais faire de cette capacité à dessiner des maisons.

Lister ce que j’aimerai voir apparaître dans mes œuvres ?

Il y a tant de choses qui me touchent quand je regarde les humains vivre ensemble. Mon idéalisme a été trop de fois meurtrît dans des échanges avec mes semblables, sans doute moins rêveur que moi.

Ici, sur le papier, dans l’intimité de ma créativité, je peux à nouveau rêver et à nouveau essayer d’exprimer mes révoltes, mes coups de gueules, mes points de vues. Je crains moins l’agression directe des désenchanteurs.

Pour commencer, je pourrai sortir de mon cœur quelques sujets qui me taquinent. Les écrites pour les voir, pour en prendre conscience et pouvoir les utiliser dans mes dessins.

Dans ce qui fâche, je pourrais trouver :

  • La manipulation du peuple par les privilégiés,
  • les peur du privilégié de perdre ses privilèges,
  • l’abrutissement de masse, la société du spectacle et l’entreprise du divertissement
  • Production et Consommation comme seul horizon
  • L’agriculture industrielle et la destruction des sols, la privatisations des graines
  • Privatisation, suppression service publique,
  • Suppression de la culture populaire et locale au profit d’une esthétique mondiale.

Dans les thèmes qui me réjouissent, je pourrai citer :

  • Les services publique : trains, poste, transports, les jeux publique
  • La culture: les théâtres, les cinémas, les salles de concert, les spectacle de rue,
  • L’entraide, les amis, les soutient

Tant de thèmes qui pourraient apparaître dans mes dessins.

Ces thèmes me touchent et j’aimerais les voir apparaître dans mes dessins. Cependant j’aimerais aussi éviter quelques écueils.

Comment en parler ?

J’aimerais par exemple ne pas retourner le couteau dans la plaie, dénoncer sans moraliser, dénoncer sans déprimer.

si mes dessins parlent de la consommation, de la pub, de la télé, du foot et autres sujets qui construisent le quotidien de tant de monde, ils mettront en avant ces thèmes oppressant.

Les dessiner est Peut être une façon de les rendre un peu plus poétique, plus visuels et peut être qu’ils auront sur moi un effet une thérapeutique.

J’ai peur pourtant que dans ce processus que la contestation soit le seul horizon. Peur Peut-être aussi de saturer l’espace visuelle avec ce qui l’encombre déjà…

Donc j’aimerais contraster les éléments visuels dans le dessins.

Éléments visuels possible :

Contestation :

  • Télévision, paraboles, câbles
  • Stade de foot, éclairages, publicité lumineuse
  • Pub, pancartes, banderoles, logos et marques
  • Objets de consommation tels que les chaussures, voitures, sacs à mains,

Solutions :

  • Magasins d’artisans
  • Forest, chemins, soleil couchant
  • Œuvres d’art, cinéma, théâtre,
  • Service publique : poste, train, bus, tram,
  • cultures populaires, costumes, souks, désordre urbain,
  • Education populaire